Bien évidemment pour la FSF, la plupart des critiques se concentrent sur le fait que le code ne soit pas libre. « Comme tous les logiciels propriétaires, Windows 10 met ceux qui l’utilisent sous la coupe de son créateur. Tandis que les logiciels libres comme les systèmes d’exploitation GNU/Linux les considèrent comme leurs pairs et leur laisse le contrôle de leur vie numérique« .
Mais la fondation ne s’arrête pas à cette seule critique, parmi les griefs on y retrouve le caractère obligatoire des mises à jour qui transforme l’utilisateur en bêta testeur, la collaboration supposée de l’entreprise avec la NSA, ainsi que l’attribution d’un identifiant publicitaire…
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